Chaque année, le coût du nettoyage des tags représente un montant colossal pour les sociétés de transport public, ainsi que pour les collectivités. Un coût qu’il est, pourtant, possible de réduire nettement grâce au filmage des vitrages, par des procédés tels que Vitroprotect.

TAGS ET GRAFFITIS DANS LES TRANSPORTS : UN PROBLÈME MAJEUR

De nombreuses villes à travers le monde sont touchées par le problème de dégradations tels que les tags et graffitis sur vitrage.

Certaines municipalités mènent parfois des campagnes spectaculaires pour en venir à bout. Ce fut le cas, notamment, dans la ville de New-York, où Rudolf Guliani pronait une « tolérance zéro » envers les graffitis et tags, ainsi qu’envers leurs auteurs. Car il considérait qu’une simple dégradation sur vitrage ou cabine téléphonique constituait le début de la paupérisation d’un quartier.

En France, aussi, de nombreuses villes sont concernées. A Paris, dans les années 80, la ville s’est équipée de machines à pression anti-graffitis, notamment pour nettoyer le bus et métros vandalisés.
Depuis cette époque, la répression s’est encore endurcie et les métros et bus sont désormais bien plus propres.

Mais, pour les sociétés de transport, le traitement de ces tags et dégradations représente un coût très important. Encore plus, depuis l’arrivée du phénomène des tags à l’acide, qui endommage les vitrages en profondeur.

Pour la SNCF, par exemple, ce coût du nettoyage des graffitis avoisine les 5 millions d’euros par an.

LA SOLUTION DU VITROPROTECT DANS LES BUS, TRAMWAYS ET MÉTROS

Les dégradations sur vitrages dans les transports publics sont disgracieuses et gênantes pour les usagers.

Longtemps, pour remettre à neuf les métros, tramways et bus, la seule alternative possible était celle du changement de vitrage. Une solution fastidieuse et coûteuse pour la collectivité.

Avec Vitroprotect®, Eurécla offre une alternative toute autre aux sociétés de transport public. Plus besoin de changer les vitrages des bus, tramways ou funiculaires. Les vitres sont directement protégées par un film totalement invisible qui s’applique sur tous types de vitrages sensibles.

Une véritable barrière anti-tags et notamment anti-rayures à l’acide. C’est ici le film qui est dégradé et qui doit être changé. Derrière ce film sacrificiel, la vitre, elle, reste parfaitement intacte.

EURÉCLA PARTENAIRE DE NOMBREUSES SOCIÉTÉS DE TRANSPORTS

Bus, funiculaires, tramways… les sociétés de transport mettent un point d’honneur à se débarrasser des tags et graffitis. D’ailleurs, selon une récente étude IFOP/SNCF, 85% des usagers trouvaient que les tags étaient dégradants pour les biens et portaient, même, atteinte à leur sécurité…

Le concept des films Vitroprotect séduit, donc, de nombreuses sociétés de transport, car ils sont simples et rapides à mettre en œuvre. De plus, leur coût est bien moins important que celui d’un changement total de vitrage.

Parmi les clients d’Eurécla, des sociétés de transport urbain tels que STIP, Alstom ou encore Keolis. De même, la RATP a opté à plusieurs reprises pour les solutions Eurécla. Car l’entreprise « nettoie » en effet chaque année pas moins de 700.000 m² de tags sur ses réseaux!

Grâce au Vitroprotect®, rames, vitres et portes vitrées sont efficacement protégées des actes de vandalisme et les transports restent propres et agréables, pour tous.